Le poète se laisse éblouir par l’été
Et la rose frémit sous la brise légère,
Les amoureux ravis, sous un cœur hébété,
Viennent voir le silence en vague passagère ;
La chaleur estivale envoûte sans fierté
Sous la lune bien ronde une belle étrangère.
Et la rose frémit sous la brise légère,
Les amoureux ravis, sous un cœur hébété,
Viennent voir le silence en vague passagère ;
La chaleur estivale envoûte sans fierté
Sous la lune bien ronde une belle étrangère.
Le rimeur se souvient d’un parchemin bleuté,
Retraçant la douceur d’une âme ménagère,
Laissant fleurir l’espoir au pas d’éternité
Que charme le présent ; Oh ! muse messagère.
La chaleur estivale envoûte sans fierté ,
Sous la lune bien ronde une belle étrangère.
Retraçant la douceur d’une âme ménagère,
Laissant fleurir l’espoir au pas d’éternité
Que charme le présent ; Oh ! muse messagère.
La chaleur estivale envoûte sans fierté ,
Sous la lune bien ronde une belle étrangère.
Dans l’ivresse du temps où toute vérité
Ne pare plus le ciel sous l’aube séculaire,
Le désir vient nourrir un souhait éventé
Où la saison s’émeut d’une mer en colère.
La chaleur estivale envoûte sans fierté,
Sous la lune bien ronde une belle étrangère.
Ne pare plus le ciel sous l’aube séculaire,
Le désir vient nourrir un souhait éventé
Où la saison s’émeut d’une mer en colère.
La chaleur estivale envoûte sans fierté,
Sous la lune bien ronde une belle étrangère.
Maria-Dolores